La prison

Éric revient à sa prison, charger d'ungros coli. Un prisonnier fait durant la petite poursuite contre l'assassin. l'homme l'avait attaqué après être descendu de l'escalier. Le chef demanda de l'aide pour déplacer Asimiir dans un des cellules.
Il se prit un petit tabouret et l'installa devant les barreaux du prisonier.

~Bon, maintenent faut juste attendre qu'il se réveille...~

Après une petite minute de flannae il alla à son bureau qui n'était pas très loin pour écrire un compte rendu des évènements. Il était rendu au milieu lorsqu'il entendit un bruit qui venait du coin du prisonnier.

"enfin réveillé?"

lanca-t-il en se levant pour se diriger vers le géant.

Lorsque Asimiir reprit enfin conscience, il ne savait pas vraiment où il en était.

*Où est-ce que je suis, qu'est-ce que ces gardes ont fais?*

Asimiir ne voyait pas très bien. Tout était flou.

*Surement une grosse commotion cérébrale.*

Asimiir cur voir quelque que chose ou quelqu'un se tenant devant lui.

*Surement un soldat. Je ne parlerai pas.*

Ensuite, Asimiir se détendit tout d'un coup pour faire croire à l'homme qui se tenait devant lui qu'il venait de s'évanouir de nouveau.

*Il va surement s'en aller.*

Le chef arriva devant la cellule, mais c'était une fausse alerte. à première vu le suspect semblai encore endormi. Peut-etre avait-il bouger durant son petit comas. Le chef posa ses mains sur sa taille et lanca à voix haute:

"Vivement qu'il se réveille.. je suis curieux de savoir qui il est et son rôle à jouer dans toute cette histoire...."

Sur ses mots il retourna à sa table de travail terminant son rapport. Se n'était pas la première fois qu'il avait à faire à un assassin, mais c'était le premier qui avait autan de complice.

~surment une autre guilde...~

Attendant un autre signe de vie de la par d'asimiir, le chef se plongea dans un document sur une autre affaire. De vole cette fois. Il semblerait que plusieurs magazins aient été volé durant les deux derniers moi. Encore l'oeuvre de cette fameuse guilde de voleur...

Après avoir passé quelque heures à simuler l'évanouissement, Asimiir retrouva peu à peu ses moyens. Il savait qu'il ne pourait se faire frapper bien des fois s'il devait se défendre mais au moins sont adversaire en prendrait tout une!

*Pour vue qu'il vienne*

Asimiir se leva et vu qu'il avait les mains dans le dos, il se contorsionna et réussi à les mettres devant lui. Il vit que les liens étaient serrés mais fais par un amateur. Après quelques minutes, il réussit à s'en défaire. Il prit la corde et la mit dans son dos de façon à ce que peut importe l'angle qu'on le regardais, personne ne puis voir qu'il était détaché puis se retourna et alla vers l'entrée de la cellule et attendis qu'un garde aye lui parler.

Le soldat était venu accompagné du capitaine et l'un d'eux avait un seau, d'eau probablement.

*Ils voulaient m'arroser!!!*

Il vit les deux soldats la mine déconfite en le voyant.

*Ils voulaient vraiment m'arroser!!!*

Il vit le soldat déposer le seau, l'air déçu et s'adressa à lui. Asimiir écouta la question jusqu'au bout.

"Pourquoi est-ce que vous avez mit le feu si vous saviez qu'il y avait des gens à l'intérieur? Pourquoi est-ce que vous aviez l'air si content lorsque vous avez mit le feu?", dit-il sur un ton agressif et à la fois interrogateur et désaprobateur.

Ensuite, Asimiir se tu. Plus un mot ne sorti de sa bouche. Asimiir attendit que les soldats parlent ou fassent quelque choses.

Lors la fuite à cheval de l'assassin et de ses complices Damarius c'est rendut compte rapidement qu'il ne pourrait pas les rattraper tout de suite. Il se rendit donc à la prison dans le but d'en apprendre plus sur ceux qu'ils pourchassaient.

Arrivé devant la prison il frappa brutalement à la porte d'entré de celle-ci. Il espérait que les gardes le laisseraient entrer aller voir le prisonnier.

Damarius allait répondre au garde qu'il venait pour tenter d'obtenir des informations du prisonnier lorqu'il sentit un présense hostile derrière lui. Sans même regarder de quoi il s'agissait, il poussa le garde dans la prison et ferma la porte les laissant seul avec la présence à l'extérieur.

Il se retourna et vit l'assassin avec une intense lueure de démence dans les yeux. Avant que celui-ci soit trop près, il le repoussa avec une violente décharge télékinétique puis il dégaina son arme.

La vue de l'assassin tel qu'il était présentement fit jaillir en lui un douloureux souvenir. C'était il y a deux ans sa petite famille et lui étaient dans une résidence temporaire. Il était partit aider la garde de la ville dans un affaire de meurtre. Après avoir chercher toute la journé il rentra à la maison il vit que la porte de celle-ci était ouverte, craignant le pire il courut pour aller voir à l'intérieur... et en ressortit quelques instants plus tard, atterré. L'assassin était passé.

-Non, murmura il tout en chassant ce souvenir.

Il se prépara au combat.

Asimiir allait répondre au garde mais il ravala ses paroles pris le temps dit penser.

*Pourquoi lui dirais-je qui je suis et ce que je fais. De toute façon, je ne suis rien ni personne. Je n'ai aucun but dans ma misérable vie.*

"Vous voullez savoir qui je suis? Et bien, je ne suis personne. Je suis un pauvre con qui c'est retrouvé au mauvais endroit au mauvais moment et qui c'est fait mettre en taule parce qu'il a été trop curieux et aussi parce qu'il a un instint de survie trop fort ou trop enragé mais en tout cas trop fort", dit-il.

*Voila, il est content maintenant, je lui ai tout dit*

Asimiir s'arreta de parler et de penser. Il entendit des bruits étranges.

*Peut-être une bataille ou un gros coup de vent*

"Monsieur, je suis sincèrement désolé pour ce que j'ai fait. Je sais, je n'aurais pas du faire ce que j'ai fait mais ça n'est pas tous les jours qu'on se retrouve en plein coeur d'un incendie provoqué volontairement. Je pense que si vous me laissez sortir, je pourrai peut-être réparer mon erreur en allant voir ce qui se trâme dehors à mes risques et périls. Comme ça s'il y a du grabuge dehors vous ne seriez pas blessé. Qu'est-ce que vous en pensez?"

Le chef ne sembla pas mécontentent de sa réponce. Puis son garde se vit claquer la porte au nez après cet fait pousser à l'intérieur. Celui-ci ne comprenai pas trop se qui venait de se passé, mais que;que instant après de bruit debatail se faisait entendre.

"heu chef..." appela le garde.

Éric tourna la tête vers son interlocuteur puis se retourna vers son prisonier, après avoir entendu sa requete, l'air un peu amusé. Le prenait-il pour un con? Avec un demi sourire il répondit calmement:

"se que j'en pence? et bien, je pence qu'il ne vaut pas la peine de prendre tous ces risques pour nous, non. De quoi aurions nous l'air si on vous laissez aller et qu'il vous arivait un truc. Je ne pourrait pas me le pardonner, déjà que l'on vous à emprisné par erreur..." L'on pouvait ressentir un brin de sarcasme dans ses paroles., "...Vaut mieu que vous restiez ici encore un instant on va aller voir si tout est correct."

Sur ceux il se retourna et se diriea vers la porte et sorti dehors voir se qui se passait en compagnie de son soldat. Il en restait tout de même un qui surveillait toujours les cellules.

[...]

Les deux gardes rerentrèrent avecf le mercenaire dans les bras. Il l'instlèrent sur une chaise est vérifièrent s'il respirait toujours. Visiblement ils auront besoin d'une infermière ou de l'amener à l'hopital le plus rapidement possible... Le chef se leva et pri les cléf de la cellule et se dirigea vers celle d'Asimiir.

"Bon tu peux sortir, et fait attention à toi l'Assassin rode toujours. Et comme tu peux le voir il n'y va pas de main morte..."

Il ouvrit la prison, pour laisser passer l'ex-prisonier. Pendant se temps l'autre garde essayai un peu maladroitement de réanimé le blessé.

Damarius dans un état de demi-inconscience entendit des voix puis sentit qu'on le déplaçait. Il n'arrivait pas à comprendre ce qui se disait autour de lui, il eut l'impression de tomber puis de se retrouver assis, il n'aurait sut trop dire. Il avait l'impression qu'on tentait de lui administrer des soins. Celle-ci se tarit puis il ne ressentit plus rien, tout n'était que néant autour de lui...



Il se réveilla plus tard, ne sachant pas trop combien de temps il avait été inconscient. Il était étendut sur une couchette, sa plaie à la jambe était pansé et il se sentait un peu reposé.

**Ça fait même pas une journée que je suis sur pied et je me retrouve encore au lit. Il va vraiment falloir que j'apprenne à me laisser le temps de récupérer.**

Il s'assit sur la couchette le dos appuyé au mur, mais ne se leva pas, et il se repassa les derniers événements dans sa tête.

Asimiir attendit que le capitaine ne le laisse sortir. Puisqu'il n'avait rien d'autre à faire, Asimiir commença à faire des push-Up, mais ceux-ci n'étaient pas normals, il les faisaient la tête en bas, les pieds au mur.

*J'ai hate de sortir!*

Lorsque le capitaine revint, pour le laisser sortir, Asimiir reprit une position décente, c'est-à-dire, dos droit, les épaules bien relevée, le torse bombé et le vendre rentré.

"Merci Capitaine et désolé encore pour ce mal entendu", dit-il sur un ton très confiant.

Pour sortir, Asimiir prit une démarche très confiante, qui ne laissait aucunement croire qu'il avait passé quelques temps en tole. Puis, juste avant d'ouvrir la porte, Asimiir se retourna et lança un sourire au Capitaine. Il se tourna vers le soldat qu'il avait frappé et lui lança un sourire qui arrogant mais poli en même temps.

"J'espère que je ne vous ai pas trop fait mal"

Puis Asimiir sorti en ignorant complètement l'homme amoché.

Le chef regarda asimiir sorti avec un mauvais oeil, mais il n'avait rien contre lui pour le retenir. Éric suivit ça sorti à l'extérieur à traver la fenêtre et vie qu'il avait trouer l'assassin a cause d'une flaque de sang qui s'était fait... Le chef serra les dents et lanca un juron dans sa tête.

~On se retrouvera et la prochaine fois pas de cadeau....~

Se promit-il intérieurement. Puis il se retourna vers le blesser. Le soldat avait pensé ses blessure avec une petite trousse de premier soin. Une fois qu'il eu fini et que le mercenaire avait repris conscience il se tassa pour laisser la place au chef.

"Ça va mieux? On peut dire que tu l'as salement amoché cet assassin... Dommage que l'autre gars qui l'accompagnai ai tout foutu à l'eau en allant secourir son ami surment pour aller le faire soigner..."

Dit-il en se laissant tomber sur une chaise. Il se pencha vers son bureau et attrapa une bouteille dans un des tirroires. il en pri une gorgé et la tendi au blessé.

"Une gorgé?" Proposa-t-il, bien que l'alcool ne soit pas très recommender...

Damarius pris la bouteille et remercia le chef d'un hochement de la tête. Il en prit un bonne rasade et la rendit à celui-ci.

-Là ça vas mieux! Alors, cet **vulgarité** était de mèche avec l'assassin... ça ne fait pas de problème. D'ici quelques jours je serai complètement sur pied et prêt à les prendre en chasse, il se mit à jouer avec le cordon de sa bourse, mais peut être le serais je avant.

Il réfléchit quelques instants, il se demandait comment Nodrek s'en était tiré de son côté. Il espérait que les complices de l'assassin ne lui ait pas posés trop de troubles.

-Ça fait longtemps j'ai pas eut à faire ce genre de boulot, surtout qu'il semble avoir énormément de complices ça risque d'être assé particuler de savoir qui est avec qui.

Il ammorça un mouvement pour se lever, mais il se ravisa très, très rapidement.

Éric esquissa un légé sourire et pri une autre gorgé. il se redressa légèrement sur sa chaise et regarda un court instant Damarius.

"Bah de se que je sais, Ses complices serait, le géant de tout à l'heur. Faut se méfier, car il est grand et il est fort aussi..." commenca-t-il en se rapelant les coup que le géant lui avait infligé à la grange. "Il serais également accompagner d'un homme e blanc, ainsi que d'une fillette..."

C'était la super équipe que l'assassin avait réussi à se faire les dieux seuls savent comment! Toute cette histoire était bien étrange.

Damarius réfléchit aux lieux où pouvait se trouver l'assassin. Tout en faisant ça il tenta, une deuxième fois, de se lever. Il y arriva, mais s'appuya rapidement sur le mur le plus près puis il prit son épée et s'en servie comme canne. Il marcha vers la porte et avant de sortir il se retourna vers le chef.

-Je vais à l'auberge, si je n'ai pas de contrat plus attrayant d'ici mon rétablissement je partirais à la poursuite de l'assassin et des autres. Maintenant je vous laisse et si vous me cherchez vous savez ou me trouver.

Damarius salua le capitaine et sortit du bureau en boitillant. Il quitta par la suite la prison et s'en alla à l'auberge.

(je vais à l'auberge)